Maria Ozawa, actrice porno japonaise extrême
Maria Ozawa, ou la recette du bukkake au sirop d’érable
Maria Ozawa (1,62m, 48kg, 86-56-88) est née le 8 janvier 1986 à Hokkaido, de mère japonaise et de père canadien (Québécois). Ancienne élève de la Christian Academy in Japan, elle parle, lit et écrit couramment l’anglais et va à la selle au moins une par jour.
Ses passe-temps favoris sont la guitare, le hockey sur gazon et la cuisine. Elle est également une grande amatrice de jeux vidéos et de films pornographiques auxquels elle s’est initié très tôt en les empruntant aux amis de son frère… la coquine
Maria Ozawa a connue ses premières expériences sexuelles à l’âge de 13 ans (douce enfant), et sans aucune envie de se refaire l’hymen, elle s’est intéressée à la pornographie dès l’adolescence rrr. Aprés avoir été «introduite» dans l’industrie pornographique japonaise par l’intermédiaire d’une amie également actrice porno, elle débute en juin 2005 comme mannequin de charme pour le site shirouto-teien.com sous le pseudonyme de Miyabi.
Elle est ensuite sous contrat avec la société de production S1 d’octobre 2005 à février 2007, période au cours de laquelle elle est apparue dans de nombreuses vidéos gonzos. Aprés la fin de son premier contrat d’exclusivité, elle a ensuite été sous contrat avec les sociétés Dasdas, une firme naissante, et Attackers pour lesquelles elle a produit des films aux pratiques plus « extrêmes » (sodomie, gang bang, bukkake, simulation de viol, urophilie, etc.) qu’à ses débuts.
Maria Ozawa tourne comme Kad Merad, au rythme d’un film par mois jusqu’en Février 2007. Face à Sora Aoi, Yua Aida, Yuma Asami, et Rin Aoki, le film mettant Ozawa en scène remporte le premier prix à la compétition d’AV Open en 2006 destinée à élire la vidéo pornographique la plus commerciale.
Maria Ozawa a également fait des apparitions sporadiques dans des films de V-cinema, dans des séries télévisées ainsi que dans un clip du groupe de Hip-Hop japonais DS455 (Summer Time in the D.S.C.). Elle est l’une des actrices pornographiques japonaises la plus populaire et l’une des mieux payées, elle tire de sa profession un revenu mensuel minimum de 8000 dollars… amour, gloire et beauté ; et ça, sans avoir besoin de vendre ses petites culottes portées.
Maria Ozawa est très fière d’exercer son métier mais ses parents comme ses amis réprouvent son travail (oh les méchants). Elle affirme qu’un jour, apportant des vidéos gratuites la mettant en scène pour les montrer à ses parents, ceux-ci refusèrent de les voir en la priant instamment d’arrêter cette activité… ça c’est pas très gentil.
Voilou, je vous conseille vivement d’aller découvrir cette femme asiatique, qui taptoula et qui prentoula.
Blog officiel : http://blog.dmm.co.jp/actress/ozawa_maria/
NDLR: Article grossièrement repris de Wikipedia et légèrement taptoulisé ;
Ah ces nippons ils ont toujours un longueur d’avance sur nous!! Une petite fille qui joue a la wii…douce perversion