On ne vous parle plus de la Tecktonic® ou TCK®, du HardStep, du Melbourne Shuffle ou du Jumpstyle. Ces différentes danses, pratiquées par de nombreux jeunes en club discothèque et autres bals dansants, sont très visuelles et nombre de danseuses (et danseurs) qui les ont observées en gardent un souvenir indélébile (Cocard, Oeil poché, Fracture de l’arcade sourcillière, Commotion cérébrale, Fracture du crâne, trouble du comportement, NDE). […]

Un jeune riche s’exhibe fièrementD’aucuns disent que ces danses représentent une certaine idée de revanche sociale de la part de jeunes blancs relativement aisés qui redécouvrent la Trance, le Gabber ou le Hardcore du milieu des années 90. C’est probablement le cas de la chorégraphie Tecktonic®, qui est née sur la piste de danse d’une discothèque réputée dans le centre de Paris.

Ce n’est par contre pas le cas du Jumpstyle, d’origine Néerlandaise, dont nous allons faire dans ces lignes une analyse appronfondie simplifiée.

Benny B, précurseur de la tendance vestimentaire JumpstyleLe Jumptyle, pardon, le Jumpstyle à cette particularité d’être à l’origine de nombreux courants chorégraphiques, la Tecktonic® en fait justement partie. Cette danse si charactéristique ne peut évidement être pratiquée avec un Iphone sexy dans la main, car elle nécessite la rigueur d’un expert tuning et streetracing roumain. Le port du Jean Slim est fortement déconseillé, au contraire du MuthaFuckaThickBaggyBitch, largement plébiscité. La danse Jumpstyle se pratique sur différentes musiques, aussi variées que complètement différentes, tels que la Hardtechno, la HardTrance, la Trance Hardstep ou le HardStyle.

Observons ici un enfant expert de 4-6 ans danser le jumpstyle de maniere professionnelle:


Comme dirait un confrère rédacteur sur le blog d’une radio bien connue:

« j love trop la zik koi md’r »

Ou l’on peut mesurer son engouement optimiste pour la musique technologique contemporaine.