Mort du Captain Iglo – Deuil Sauce Hollandaise

Colin m’a tuer (blague Nulle // Captain Bigleux inside)

Le célèbre captain Iglo, capitaine préféré des enfants de 4-6 ans élevés à la malbouffe et/ou qui ont des mamans qui n’aiment pas cuisiner de bon produits de saison et du marché (calendrier marché) ou qui n’aiment pas leurs enfants tout simplement, va encore sans doute changer de visage. En effet, l »acteur allemand Gerd Deutschmann, second acteur à prêter sa barbe blanche au célèbre capitaine dans la publicité des poissons carrés, sans tête, sans arrête et pané, est pas né mais mort à 76 ans (il était donc encore dans la tranche d’âge pour lire des albums de tintin ou du masque du fantôme).

Gerd Deutschmann était le deuxième acteur à incarner le rôle du célèbre capitaine barbu (comme le père Noël, Jésus, Robert Hue, Fidel Castro ou Amanda Lear). Avant lui, le comédien britannaique John Hewer avait prêté ses traits au capitaine de 1967 à 1998, année de sa mort… Un lieutenant Iglo, aspirant barbu, va donc sans doute prendre du galon dans les prochaines semaines, s’il a la barbe adéquate bien évidemment.

Pour rendre un dernier hommage à ce grand acteur, au talent incontestable, qui avait une palette d’expression aussi vaste que Steven Seagal, Chuck Norris, Samuel Lebihan ou même Jean Reno, découvrez cette vidéo inoubliable du capitaine Bigleux, un de ses lointains cousins, immortalisé par des Nuls :

Origine du Captain Iglo

Taptoula a longuement enqueté pour connaître les origines du saigneur des mers, avaleur de colin, et captain Iglo de son état belge, et vous délivre tel qu’elles sont avérées au conditionnel par des rumeurs véridiques.

Tout commencerait par une lointaine époque ou Maman Iglo dit à son fils, enfant de 4-6 ans :

« N’oublie pas que nous sommes sur terre pour travailler. »

Après un instant de réflexion, caressant sa barbe de prébubère confirmé, il répondit (plomate) :

« Bon, alors moi, plus tard, je serai marin. »

Selon d’autres sources non officielles, ce ne serait pas le minot Iglo qui serait l’auteur de ces mots, d’un certain Mathias G. mais ce ci est une autre histoire…